La cigarette électronique, comment ça fonctionne au juste ?

La cigarette électronique ou plus connu sous le nom d’e-cigarette prend de plus en plus d’ampleur, mais au final savez-vous comment le tout fonctionne ?
Pour faire simple, c’est tout simplement un dispositif électronique qui génère un  aérosol qui est inhalé et qui produit ainsi une fumée artificielle.

Cette cigarette est composée dans la majorité des cas  de 3 parties distinctes :

Concernant la batterie, pas de panique à vous faire, car une fois acheté vous serez tranquille, comme avec votre smartphone par exemple. Vous ne serez ainsi pas obliger de la changer tous les mois, elle est achetée une fois pour toute.
Elle se recharge de plus très facilement depuis toute prise secteur (maison, voiture) et par USB sur votre ordinateur.

Le vaporisateur, contrairement à la batterie est lui à changer. Il est même recommandé de le changer tous les mois si vous êtes un bon « vapoteur ».
En fait, le vaporisateur sert tout bonnement à transformer l’air que vous aspiré en vapeur.

Concernant le e-liquide, il est composé généralement d’alcool, d’eau, de propylène glycol (PG) ou de glycérine végétale (VG) , d’arômes (élément indispensable qui permet d’enlever la senteur négative qu’une cigarette) et pour finir d’une dose de nicotine (il existe 5 dosages différents).

 

A noter tout même que ce soit des boutiques physiques ou en ligne (comme avec Gariguette), ce marché prend de plus en plus d’ampleur et séduit de plus en plus de fumeurs (qui utilisaient auparavant des cigarettes traditionnelles’) et commence tout doucement à écraser les petits buralistes.

La cigarette électronique est généralement équipée d’une LED  qu’il faut actionner pour « vapoter ».
« Vapoter, « vaper », « vapoteur », ce sont des nouveaux termes que l’on utilise pour ses personnes qui utilisent la e-cigarette à l’instar de fumer pour une cigarette standard.

La consommation d’une e-cigarette est ici calculée en nombre de bouffées

 

Pour finir, voici une petite vidéo qui explique rapidement le procédé réalisé par Damien HYPOLITE pour Sciences et Avenir :

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